La supervision, pour analyser sa pratique de coach
Explorer sa pratique professionnelle de coach avec un superviseur, cela permet de prendre un certain recul par rapport à sa pratique, et de la questionner « à deux ». Lors d'une supervision, nous pouvons explorer les domaines suivants :
La toute puissance nous guette
Même à notre insu, à force de vivre tous ces transferts de la part de nos clients, ballottés à longueur de journée entre idéal et impuissance, il est important de « nettoyer son écran » et de déconstruire les différents éléments de nos relations. Nous sommes particulièrement sollicités et nos propres projections ou identifications peuvent entraîner jugements, manque de bienveillance ou de discernement, de travail réflexif.
Les émotions nous usent
Notre cadre de travail nous amène à recevoir des émotions parfois intenses. Il est important d’avoir un espace-temps où l’on peut dire ce qui nous agite, nous émeut, nous irrite, et d’investiguer.
La déontologie
Le cadre éthique, déontologique dans lequel on évolue suscite souvent des questionnements subtils. A travers les autorisations qu’on ne se donne pas ou au contraire les manquements que l’on minimise, la ligne juste est parfois difficile à cerner. De plus, notre déontologie nous enjoint à poursuivre notre réflexion, notre formation, tout au long de notre pratique. Réfléchir à sa pratique est donc aussi une question d’éthique.
Les savoirs et savoir-faire se partagent
C’est alors l’occasion de découvrir d’autres outils, d’autres courants théoriques, d’autres façons de faire ou d’autres assises. Les échanges sont alors très riches. Ces relances de la pensée sont à double sens.
La toute puissance nous guette
Même à notre insu, à force de vivre tous ces transferts de la part de nos clients, ballottés à longueur de journée entre idéal et impuissance, il est important de « nettoyer son écran » et de déconstruire les différents éléments de nos relations. Nous sommes particulièrement sollicités et nos propres projections ou identifications peuvent entraîner jugements, manque de bienveillance ou de discernement, de travail réflexif.
Les émotions nous usent
Notre cadre de travail nous amène à recevoir des émotions parfois intenses. Il est important d’avoir un espace-temps où l’on peut dire ce qui nous agite, nous émeut, nous irrite, et d’investiguer.
La déontologie
Le cadre éthique, déontologique dans lequel on évolue suscite souvent des questionnements subtils. A travers les autorisations qu’on ne se donne pas ou au contraire les manquements que l’on minimise, la ligne juste est parfois difficile à cerner. De plus, notre déontologie nous enjoint à poursuivre notre réflexion, notre formation, tout au long de notre pratique. Réfléchir à sa pratique est donc aussi une question d’éthique.
Les savoirs et savoir-faire se partagent
C’est alors l’occasion de découvrir d’autres outils, d’autres courants théoriques, d’autres façons de faire ou d’autres assises. Les échanges sont alors très riches. Ces relances de la pensée sont à double sens.